UNE TERRE/UN MORT .
Quand l'imaginaire remplace le réel :
ou comment faire une belle histoire en déformant les faits ; des découvertes , parfois laissent à leur inventeur des flashs déforment sur les faits ; on crée des anecdotes sur des assauts , par un chiffre inimaginable sur des départs d'attaques ,( batailles d'arras wellington ) ,ou on fait parler des objets très loin de leurs usages réels , mais surtout ,on joue avec un grand sérieux et un aplomb digne des plus grands affabulateurs ;des geysers de création surgissent . A la découverte de sépultures ,par un mouvement naturel de décomposition , on voit un geste fort d'amitié , on brode une histoire qui dans le monde des incrédules ne trompe pas , mais dans celui des crédules fait un tabac , là on crée une légende :exemple ces hommes sur les photos donnent l'impression d'avoir les bras entrelacés , mais non ,ils ne forment pas une chaîne de frères d'armes ,car l'image d'époque , elle , montre que cette pratique n'existe pas ; si ces soldats étaient dans des toiles de tente pour linceul , la séparation entre les corps serait plus nette par le remplissage de la fosse , mais il est vrai que l'imaginaire est plus facile que l'ordinaire . Pauvres soldats morts ,mis en terre ,votre décomposition et le mouvement du sol ont fait de vous sans le vouloir des frères liés dans la mort . Notre archéologue pilleur trouve le nom " LES GRIMSBY CHUMS " herve lemaire:
BRUNO FREMONT MEDECIN LEGISTE.
Certains archéologues avancent l'idée que les os retrouves peuvent être assimilés à du matériel archéologique , mais il ne s'agit pas encore de néandertalien ,c'est de l'humain , du récent , de familles pour lesquelles cela reste une plaie ouverte :
les paysage de certains secteur sont des visions hallucinantes ;
aussi horrible , mais quotidiens pour les survivants ;
des trous d'obus que la pluie à transformés en pièges ;
ils sont partis dans des combats , mais vite la mort les as fauché dans des tranchées ;
dans un trou d'obus ;
prés d'une route , où un chemin creux ne fut pas une protection ;
en sol belge ou français , le gâchis ;
avec son canon , le temps lui as déjà donné un autre visage , celui que beaucoup vont avoir ;
une tranchée , plutôt le chemin de la mort ;
avant d'avoir une sépulture ,des corps arrivent comme de vulgaires marchandises , pour être mis en terre souvent dans l'indifférence et la précipitation de l'avance allemande ;
entre le grand blessée et le mort , un instant avec un prêtre sous les regards des brancardiers habitués à la souffrance ;
les corps sont de plus en plus nombreux ;
secteur canadien , prés d'un poste sanitaire , des corps sont en attentes d'une tombe ;
Les premières sépultures , des mottes de terre qui deviendront des tombes :
exhumation d'un corps de soldat en vue d'identification 1914 ;
une tâche qui est devenue banale pour cet homme , la rencontre d'un mort pour une identification ou d'une sépulture conforme ;
sur sur terre devenue bourbier ,ces soldats français regardent les croix en se disant " qui le prochain " ;
CHAMPAGNE 1915 , P O W allemands creusent les tombes pour les soldats français : tombes très profondes ;
CHAMPAGNE 1915 . encore des prisonniers allemands , a la tâche de creuser des tombes , là les corps sont dans des toiles , cote à cote , non dans des fosses individuelles ;
1915 . CHAMPAGNE , le 4 février de cette année , des tombes de soldats ALLEMANDS dans un crater , ils seront déplacés dans les années qui suivent ;
autre fosse française , là encore les dépouilles sont dans un linceul ;
aout 1916 , un chapelain officie la mise en terre d'un australien , dans un bois ;
MONCHY LE PREUX . les corps sont encore sur les brancards , avant le mise en terre ;
cimetière provisoire au environ de VERDUN 1916 ;
fosse commune de soldats allemands , là aussi les corps sont mis en terre sans "séparation ' ; un point a ne pas négliger ;
cette photo montre des soldats britanniques , avec pelles et pioches préparer une pas tombe commune de plusieurs soldats; ils ne sont ni dans un cercueil , ni dans une bâche , là sur la terre , les bras tombant, non pas les bras les uns sous les autres, comme une chaine de camarades , si bien inventé par un archéologue bidon d' ARRAS et un anthropologue de l' INRAP déjà au RICARD a 9 heures du matin : gros coup de pub dans la presse et une légende voit le jour ;
le mensonge sur la mort des morts du point du jour , invention d'un archéologue pilleur et d'un anthropologue de l' INRAP :
vue de la fosse dite des soldats les bras les uns dans les autres , bras dessus bras dessous, la chaine des copains :vision imaginaire d'un archéologue : une grosse intox pour que notre archéologue se fasse mousser ;
dans la suite d'autres tombes britanniques , de nouvelles et pas un signe de la chaine de copains ;
fosse commune juillet 1918 AISNE ;
ouverture d'une fosse , les corps vont rejoindre un carré militaire ou nécropole ;
un geste de respect sur la tombe provisoire d'un canadien , prés d'une tranchée ;
une simple croix ;
sous des vestiges , le corps d 'un soldat canadien , l 'un d'eux cherche un ami disparu ;
déjà des cimetières provisoires , celui-ci est identique au mensonge de notre archéologue d' ARRAS ;
tombe individuel d'un aviateur ;
visite d'un officier sur les tombes des soldats de son régiment ;
la terre , le repos éternel pour ces combattants ;
sur cette C P A la confirmation que les allemands ont incinérés les corps des leurs pour fausser les chiffres des pertes ;
la détection est un fléau sur les champs de batailles , un prospecteur se fait pilleur de corps pour une bague , une montre, des monnaies, insignes tous les objets , laissant dans le sol que des os , alors que cette victime de la guerre aurait put avoir une sépulture , la détection est un loisir pour les gens sans respect de la mémoire ;
convoi funéraire du capitain HUGH CALDWELL canadian railway 1917 ;
1915 . dans les montagnes , les soldats AUSTRO-HONGROIS rendent hommage à leurs amis morts sur le front ;
après la bataille de BULLECOURT ;
a suivre